mercredi 24 septembre 2008

La recherche sur le cancer remise en question ou pourquoi nous mourons encore du cancer!

Bulletin d’information concernant une voie de recherche prometteuse dans le domaine du cancer, complètement ignorée par les acteurs et décideurs de ce domaine.
Face à la stagnation et à l’enlisement des recherches, le constat est sévère : nous n’avons toujours pas les moyens de guérir le cancer et ne sachant toujours pas ce qu’est cette maladie, nous ne pouvons agir efficacement.
Les seuls véritables progrès dans le domaine du cancer portent sur une meilleure considération des malades et une meilleure application des traitements, résultats obtenus grâce à l’implication et l’intervention des patients eux-mêmes et de leurs familles, regroupés en associations, plus que par les moyens colossaux investis et mis en œuvre depuis tant d’années !
C’est en 1970 que le président Nixon a déclaré le premier « la guerre contre le cancer ». Si l’on met dans la balance, d’un côté, les moyens investis depuis cette déclaration et de l’autre côté, les résultats obtenus : quel fiasco !
En 2007, les chercheurs se résignent et déclarent « le cancer, maladie chronique » et « on ne gagnera pas la guerre contre le cancer mais des batailles ». Franchement, qu’est-ce que cela veut dire pour les malades ? Moi je dis, tout ça pour ça, quel échec !
Aberrants, l’aveuglement et la surdité des chercheurs qui s’obstinent, malgré des résultats plus que décevants, à s’engager dans des thérapies visant à détruire les cellules cancéreuses par des mécanismes comme l’immunothérapie ou l’apoptose !
Comment pouvons-nous encore penser, au XXIème siècle, qu’un organisme doive reconnaître la cellule cancéreuse comme un corps étranger ?
Comment pouvons-nous encore penser, au XXIème siècle, qu’un organisme doive réagir contre la cellule cancéreuse et la rejeter ?
Comment pouvons-nous encore, au XXIème siècle, nous engager dans des immunothérapies aux résultats stériles prévisibles ?
Le doute et la remise en question sont deux principes qui devraient guider le travail de tout scientifique. Dans les stratégies anti-cancer utilisées, je ne vois qu’acharnement et entêtement à traiter une maladie mal définie dès le départ, à s’attaquer à une chimère !
A votre tour d’apprécier ou non la cohérence du raisonnement qui suit et de l’intérêt ou non de développer ce projet et de le mener à son terme.


Commençons par une constatation : aucun organisme ne réagit contre le cancer
qui entraine cette question que la recherche sur le cancer ne s’est jamais posée :


Est-ce qu'un organisme doit réagir contre le cancer ?


A ce type d'interrogation totale, il existe 2 réponses possibles:

Première possibilité :----------------------Seconde possibilité:

OUI ---------------------------------------------NON

Un organisme doit réagir contre le cancer.
C’est l’optique de la recherche sur le cancer
depuis qu’elle existe et un des éléments sur
lequel se base cette recherche, l’autre élément
étant de considérer la cellule cancéreuse comme
une cellule folle proliférant de manière
anarchique, en dehors de tout contrôle, bref,
une cellule qui fait ce qu’elle veut mais
n’importe quoi, où elle veut, quand elle veut
et comme elle veut.

La recherche sur le cancer démarre donc de ce
niveau et, avec pour objectif légitime, la destruction de
la cellule cancéreuse, se pose la question suivante :

Pourquoi un organisme qui
doit réagir contre le cancer ne
réagit-il pas contre le cancer ?



Réponse : il existe un problème avec le
système immunitaire.
La recherche sur le cancer a toujours mis
en cause le système immunitaire, inefficace
à combattre le cancer et incapable d’éliminer
la cellule cancéreuse.


Ce système immunitaire, quelque soit l’organisme,
serait donc déficient uniquement pour l’élimination
des cellules cancéreuses car pour le reste des éléments
étrangers, il fonctionne très bien.
Si tel était le cas, il est étonnant que nous n’ayons pas
encore trouvé la faille du système.

Une des stratégies pour détruire les cellules
cancéreuses est donc d’utiliser l’immuno-
thérapie. Cette méthode consiste à forcer
les cellules du sang à combattre les
cellules cancéreuses.

Réponse : il existe un problème avec le
mécanisme d’autodestruction de la cellule
( apoptose ) devenue cancéreuse.

C’est ce mécanisme d’activation de l’apoptose
qui est utilisé principalement en chimiothérapie
pour tuer les cellules cancéreuses.
Les inconvénients de cette stratégie sont :
-Nous ne savons toujours pas cibler la cellule
cancéreuse et uniquement la cellule cancéreuse.
Par conséquent, ces traitements ne sont pas
sélectifs et détruisent également les cellules
normales.
-Ce mécanisme de l’apoptose est un mécanisme
qui entre en jeu chez des cellules normales non
pathologiques. L’appliquer aux cellules cancéreuses
n’est donc pas la solution. Preuves en sont les
nombreux effets secondaires et la présence ou
l’acquisition de résistance à l’apoptose développées
par les cellules cancéreuses, se traduisant par des
chimiorésistances.

Toutes les recherches sur le cancer se basent sur
cette seule possibilité d’un organisme qui doive
réagir contre le cancer. Coincés dans ce cadre
restreint que nous nous imposons, nous restons
avec notre définition de la cellule cancéreuse,
cellule folle, proliférant de manière anarchique,
en dehors de tout contrôle. Et nous nous
acharnons à la traiter en utilisant les munitions
qu’utilise une cellule normale pour s’autodétruire.


----------------------------------------Seconde possibilité:


NON

Un organisme ne doit pas réagir
contre le cancer.
C’est ma manière de voir le cancer
et la cellule cancéreuse.


Un organisme ne
réagit pas contre le
cancer parce qu’il ne
doit pas réagir contre
le cancer.



Depuis que le cancer nous est connu
et ce, depuis l’Egypte Ancienne,
nous n’avons jamais observé
un organisme réagir à la cellule
cancéreuse sur le plan immunitaire.


Un organisme ne reconnaît pas

la cellule cancéreuse comme un

corps étranger ou comme une cellule
défectueuse, un organisme ne
rejette pas la cellule cancéreuse.
Ni l’organisme ni la cellule ne
détruisent la cellule cancéreuse.
La cellule cancéreuse
ne représente donc pas un ennemi
pour l’organisme.

A partir de cette seconde possibilité,
nous pouvons raisonner différemment.
Nous pouvons nous ouvrir un autre
horizon et avoir une réflexion différente
qui aboutissent à une tout autre
vision du cancer et
de la cellule cancéreuse.



Est-ce qu’un organisme doit réagir contre le cancer?

OUI------------------------------------------------- NON

Optique de la recherche sur le cancer:------Ma vision du cancer

Sans se poser la question, elle présuppose
qu'un organisme doive réagir contre le
cancer.


Malheureusement, cette question n’a jamais été formulée. Et malgré l’absence de résultats, la recherche sur le cancer persiste et signe dans une seule et unique voie, sans même envisager une remise en cause de sa réflexion sur le cancer. Par conséquent, la seconde possibilité n’a jamais été abordée.


Problème bien posé, problème solutionné, ou comment guérir du cancer!


J’aimerais alors vous parler de ma conception du cancer et de la cellule cancéreuse.
Elle s’inscrit dans le cadre de la seconde possibilité, à savoir, un organisme ne réagit pas contre le cancer parce qu’il ne doit pas réagir tout simplement.
La cellule cancéreuse n’est plus l’ennemie de l’organisme. En outre, la cellule cancéreuse n’est pas qu’une cellule qui prolifère. C’est aussi une cellule qui peut se déplacer et ce, de façon récurrente, aux mêmes endroits ( métastases ). C’est enfin une cellule qui peut mourir ( régression spontanée ). Cette énigme immunologique et ces 3 mécanismes de prolifération, de migration et de mort, se rencontrent également lors du développement d’une cellule de l’organisme : la cellule œuf.
Je joins l’article dans lequel j’ai développé cette hypothèse en 2001, documentée à partir de faits et de résultats d’expériences scientifiques .
Pour résumer, je conclus que la cellule cancéreuse a pour origine une cellule somatique qui déclenche le programme génétique de la cellule œuf.
Le programme génétique de la cellule œuf ne peut se déclencher et se dérouler qu’avec des mitochondries sous forme immature. Les mitochondries des cellules somatiques sont sous forme mature. Donc à l’origine de la cellule cancéreuse,.la condition absolument nécessaire pour que le programme génétique de la cellule œuf soit déclenché à l’intérieur d’une cellule somatique, est la conversion de ces mitochondries matures en mitochondries immatures. Les résultats scientifiques qui décrivent les mitochondries des cellules cancéreuses, montrent, qu’effectivement, à l’intérieur de la cellule cancéreuse, les mitochondries sont sous forme immature.

A partir de ces faits, j’ai établi un projet pour guérir le cancer :
-Identification d’une nouvelle cible biologique :
Il faut faire de la mitochondrie immature de la cellule cancéreuse, la cible biologique à atteindre, pour détruire cette cellule. En outre, cette destruction s’effectuera de manière spécifique, puisque la majorité des cellules non pathologiques contient des mitochondries sous forme mature.
-Comment y parvenir ?
C’est encore un fait scientifique : des protéines existent qui agissent, à la naissance, sur la conversion des mitochondries immatures en mitochondries matures. Il faut donc utiliser ces protéines comme molécules actives sur la cible, mitochondrie immature, des cellules cancéreuses et ainsi les reconvertir en mitochondries matures.
-Résultats escomptés :
Convertir les mitochondries immatures de la cellule cancéreuse en mitochondries matures, doit empêcher le programme génétique de se poursuivre, le stopper et ainsi entraîner la mort de la cellule cancéreuse, celle-ci ne pouvant survivre avec des mitochondries matures.
-Résultats obtenus :
L’activité prometteuse de ces protéines à provoquer la mort des cellules cancéreuses, a été montrée de manière indirecte par des expériences réalisées sur des cellules cancéreuses. Ce sont les études portant sur la lignée cellulaire HL-60.

Il est possible de faire se différencier les cellules cancéreuses HL-60 en cellules matures neutrophiles ( cellules sanguines ). Ce processus de différenciation est associé avec la mort spontanée de ces cellules différenciées. Il a été montré que cette mort cellulaire n’est pas provoquée par le mécanisme habituel de l’apoptose. Le mécanisme réel d’induction de cette mort cellulaire est toujours inconnu des scientifiques. La théorie que j’ai développée permet de l’expliquer :
A l’intérieur des cellules cancéreuses HL-60 se trouvent des mitochondries immatures.
A l’intérieur des cellules différenciées ( neutrophiles ) se trouvent des mitochondries matures.
Le processus de différenciation s’accompagne toujours d’une synthèse de protéines nouvelles. Parmi ces protéines, les protéines qui agissent sur la conversion des mitochondries immatures en mitochondries matures, ont donc été également synthétisées. L’apparition de ces mitochondries matures dans les cellules différenciées met un terme à l’exécution du programme génétique déclenché dans les cellules cancéreuses et aboutit à la mort des cellules.
Voilà expliquée la cause de la mort spontanée de ces cellules et montré, de façon indirecte, le rôle de ces protéines actives sur la conversion des mitochondries immatures en mitochondries matures.
Du fait de la potentialité de ces protéines à entraîner la mort spontanée des cellules cancéreuses, elles représentent de sérieux candidats-médicaments dans une thérapie anti-cancer efficace, c'est-à-dire, menant à la guérison.
Ces protéines existent, elles sont là et il n’y a plus qu’à les tester en recherche clinique !


Malheureusement pour les victimes du cancer, ces protéines n’intéressent aucun décideurs, chercheurs, experts et autres spécialistes dans le domaine du cancer ! Personne ne veut s’engager dans cette voie. J’affirme que ne pas le faire, c’est prendre un abonnement à l’échec, la recherche actuelle apportant continuellement une réponse inefficace à un problème mal posé depuis le départ !
La solution au cancer ne passera pas par eux. La solution doit passer par vous, victimes du cancer. Soyez les acteurs de votre devenir.
Vous êtes dans une relation unilatérale et sans contrepartie dans laquelle on vous demande de donner sans cesse, dons d’argent, dons de vos personnes. A votre tour, maintenant, de demander.
Vous seuls pouvez vous constituer en une puissante force motrice, seule capable de recentrer les recherches sur le véritable objectif à atteindre, la guérison du cancer ; Vous seuls pouvez défendre votre propre intérêt, votre guérison, face à la liberté et au dictat absolus des laboratoires pharmaceutiques, entre autres. Vous seuls pouvez représenter une force suffisamment puissante capable de surpasser les forces qui dirigent ce bateau et en prendre le commandement. A vous de dire vos choix et de reprendre la maîtrise d’une situation qui s’est emballée dans le mauvais sens ou bien la dérive continuera et même s’accentuera.
A la lumière des résultats obtenus par la recherche sur le cancer, ne pas explorer et exploiter la voie que je propose, c’est refuser une chance aux malades d’aboutir à la guérison, au nom de qui, au nom de quoi ?
La décision d’investir telle ou telle direction de recherche doit revenir aux malades. Vous êtes en droit de décider pour vous-mêmes ce que vous voulez tenter.
Alors appropriez-vous ce projet et exigez que ces protéines soient testées le plus rapidement possible en recherche clinique, pour votre bénéfice.